blogit.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

statetrooper62

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGIT

blog d'un amateur de maquettes, de bons alcools et de vieilles pétoires.

blog d'un amateur de maquettes, de bons alcools et de vieilles pétoires.

Blog dans la catégorie :
Divertissement

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

statetrooper62

CA ROULE POUR LES ROUES

Le 18/03/2009

1er drybrush de gris foncé 2ème drybrush de gris clair Drybrush final de vert

1er drybrush de gris foncé
1er drybrush de gris foncé 

Comme je l'ai déjà écrit précédemment, j'ai déjà attaqué la peinture des roues, le vieillissement est en cours.

Après peinture de l'ensemble de mes roues REAL MODEL en TAMIYA XF 69 noir OTAN mat, j'ai effectué sur les pneus, un premier dry brush de HUMBROL MAT 67 gris blindé puis, après séchage, un deuxième dry brush, plus légér de HM 64 gris clair.

Les jantes sont brossées, très, très légèrement, en HM 86 olive clair. Ceci afin de faire transparaître, à travers la couche noir OTAN la couleur de base du véhicule, le vert.

Il ne me reste plus qu'à salir les roues avec des jus pour simuler la poussière, à voir au prochain épisode.

 

J'ATTAQUE LA CABINE, LE SIEGE

Le 23/03/2009

 

J'ai attaqué la cabine il y a quelques semaines déjà, pour me changer les idées et en trouver de nouvelles.

D'abord le siège. Celui de la maquette ITALERI est des plus basiques, comme la doc que je disposais.

photo de l'intérieur de la tourelle, trouvée sur le net.

Et c'est tout.

J'ai repris le siège originel que j'ai donc amélioré avec des coussins en putty et un harnais en feuille de plomb et des chutes de photodécoupe.

Admirez les photos.

 

 

LE VIEILLISSEMENT COMMENCE

Le 27/03/2009

AVANT EMPOUSSIERAGE APRES EMPOUSSIERAGE

AVANT EMPOUSSIERAGE
AVANT EMPOUSSIERAGE 

En opération depuis plusieurs mois dans des conditions désertiques difficiles, la poussière s'accumule partout sur l'engin.

Hormis les drybush décrits précedemment, le vieillissement de la peinture a été laissé de côté, au profit d'un empoussièrage conséquent.

Il se fait par des couches successives de jus, HM 94 ( brun jaune mat Humbroll ) très très fortement dilué au white spirit.

Il est appliqué au pinceau n° 06, surface après surface, en respectant un temps de séchage assez long entre chacune et en évitant de déborder sur les plans voisins.

Voici le résultat d'une première couche.

Elle sera doublée voire triplée, selon l'épaisseur des prochains jus que je recrée à chaque fois et selon le degré d'empoussiérage désiré. Ici, il sera assez important, particulièrement dans la caisse qui, sous la tourelle, doit être un vrai nid à poussière.

 

VIEILLES PETOIRES

Le 27/03/2009

Pour changer des modèles réduits, parlons un peu vieilles pétoires, ce qui est une autre de mes passions. En l'occurence, les armes à poudre noire. Répliques bien sûr. Les vraies vieilles et anciennes sont un peu hors de portée de ma bourse.

Voici l'une de mes pétoires :

Un pistolet HAWKEN, construit dans les années 80 par Paolo Bondini, acheté dans une grande armurerie d'origine allemande, FRANKONIA pour ne pas la citer.

Il est aujourd'hui introuvable sauf en kit ( assez ressemblant ) aux States, La Mecque de la poudre noire.

Hawken Pistol

http://www.longrifles-pr.com/hawkenpistol.shtml

A l'époque de mon achat, le pistolet se vendait en deux calibres : .45 et .58. Le canon, muni d'un crochet de culasse donc facilement démontable, pouvait être acheté séparément. Ainsi pour une seule arme on pouvait disposer de deux canons.

J'avais choisi le calibre .45, moins gourmand en poudre et en plomb mais d'un diamètre externe impressionnant et d'un poids conséquent, d'où un certain déséquilibre vers l'avant, normal sur ce genre d'arme mais accentué ici.

Historiquement, il aurait été plus judicieux pour moi d'acheter une arme avec canon de .58.

En effet, au  19ème siècle, aux Etats-Unis, en s'élançant vers l'Ouest, le frontier man ( le trappeur, quoi ! ) a été confronté à des animaux plus gros et plus dangereux qu'à l'Est du Mississipi ( grizzli, bisons, pumas ). le long rifle avec de la Nouvelle Angleterre, typique du 18ème siècle, même transformé en percussion se voyait un peu dépassé avec des calibres ( .40 à .50 ) un peu trop petits pour cette taille de gibier.

L'arrivée de meilleurs aciers, de meilleures poudres, ont permis de répondre à ce nouveau challenge en remplaçant les longues armes à silex à calibre moyen ( .40 à .50 ) en armes courtes à percussion à gros calibres ( .50 à .54 voire plus ).

En raccourcissant le canon, on pouvait du même coup coup raccourcir le fut.

C'est à dire, entre autres, faciliter la fabrication.

Autre modification importante, le montage du canon  se fait avec un crochet de culasse et des tiroirs à clavettes à travers le fut. Auparavant quasiment indémontable, le canon se démonte alors en deux temps trois mouvements, facilité d'entretien et de réparation.

 Dans la première moitié du 19ème siècle, le pistolet n'a pas le renom que connaîtra le revolver ( colt et autre Remington et Smith et Wesson ) après la guerre de sécession ( civil war dans la langue ). Il reste néanmoins le compagnon inséparable de tout bon trappeur, coureur des bois et autres éclaireurs à la Kit Carson.

Les nouveaux pistolets suivent les mêmes canons de la mode que les carabines : les fûts raccourcissent.

Pistolet du 18ème siècle :

Pistolet du 19ème siècle :

Autre particularité des armes des trappeurs, un calibre commun. Lorsque l'on a une carabine en calibre .50 on choisit un pistolet en calibre .50. C'est plus pratique et plus économique sur le terrain de n'avoir qu'un seul moule à balle.

Mon pistolet HAWKEN de BONDINI ne correspond à aucune arme précise du 19ème siècle. Je ne sais pas si les frères HAWKEN ont jamais construit une telle arme. Il correspond néanmoins à la mode de l'époque : fût raccourci, gros canon ( à défaut de gros calibre ), canon monté sur crochet et clavette, montage de la baguette de chargement sur rotule, stetcher.

Il est la représentation idéale du pistolet de chasse américain de l'époque par ses caractéristiques et de toute une époque par son nom.

En effet, les frères HAWKEN, Jacob et Samuel, installés à Saint Louis, Missouri, à l'orée des grandes plaines de l'Ouest, sont les plus renommés des armuriers de la première moitiée du 19ème siècle aux Etats-Unis. Leurs armes, et leur nom, sont devenues LA référence en matière d'armes à feu de cette période.

Jérémiah Johnson ( Robert Redford )

ne dit-il pas au début du film du même nom : "..He was looking for a Hawken gun, .50 caliber or better. He settled for a .30, but damn, it was a genuine Hawken, and you couldn't go no better..."

Je traduis : "...Il cherchait un HAWKEN calibre .50 ou mieux. Il s'arrangea d'un calibre .30 mais, Bon Dieu, c'était un vrai HAWKEN, et vous ne pouviez en trouver de meilleur..."

Et, en effet, après plusieurs années d'utilisation, je ne trouve rien à redire à mon pistolet HAWKEN, même s'il n'est qu'une réplique italienne.

 

Minibluff the card game

Hotels