statetrooper62
EN PANNE ! OUT OF ORDER !
Le 28/05/2014
La plate forme de tir enfin terminée. |
Pour résoudre le premier problème, je suis réduit à utiliser l'appareil photo de ma tablette ( voir la photo jointe ). Pour les trois autres problèmes, je devrais me rendre à mon magasin de jouets local et au supermarché, quand j'aurai un peu de temps......
Soyez patient, je n'ai pas abandonné mon M110 aux ferrailleurs. J'ai définitevement fini le montage de mon modèle en modifiant et mettant en place les deux gros cylindres de chaque coté du berceau du canon. Les manuels techniques de l'US ARMY les appellent des EQUILIBRATOR, des équilibreurs. Ils servent à appliquer une force sur le berceau afin que l’ensemble canon et système de recul demeure en équilibre sur l’affût.
Lors du démontage et du décapage de la maquette, voilà plusieurs années, j'avais cassé et perdu cette excroissance à l'extrémité de l'un des cylindres. Par souci d'uniformité, je l'ai cassée sur le deuxième cylindre et je les ai remplacées par deux recréations en profilés EVERGREEN. En l'occurence, il s'agit d'une baguette de styrène de 1,90 mm de diamètre et de 2 mm de long que j'ai percée longitudinalement au foret de 1,35 pour y placer une baguette de meme diamètre coupée à 1mm au dessus de son logement. L'autre extrémité de la pièce est taillée en biseau sur deux faces. Le tout est ensuite collé à l'emplacement de la pièce originale. A noter que la pièce originale ITALERI n'est pas conforme à la réalité. Chez le fabricant italien, elle a une forme tronconique surmontée d'une rondelle d'un diamètre légèrement supérieur et d'un petit téton, alors que sur les engins réels il s'agit d'un cylindre taillé en biseau à sa base sur deux faces parallèles au canon et surmonté d'un tube plus petit.
Les cylindres sont ensuite enfichés sur les deux gros pistons attachés au sommet des flasques et leurs extrémités passées dans les deux ergots à l'avant du berceau. Dans la réalité, cette fixation se fait par un ecrou qui est légèrement représenté sur la maquette ITALERI. L'idée m'était venue, un temps, d'y ajouter un écrou en résine, plus réaliste. Mais le collage, à la superglue, d'un écrou en résine à cette endroit risquait de bloquer définitivement la pièce, empéchant le canon d'etre pointé en site. J'ai donc finalement renoncé à cette option. Restait encore à résoudre le problème de fixer ce cylindre à demeure pour éviter qu'il ne sorte de son logement lors de la manoeuvre du canon. Là encore, le modélisme a rejoint, d'une certaine façon, la réalité. Sur l'engin réel, l'écrou de fixation est sécurisé par une goupille. Aussi, sur mon modèle, j'ai percé l'extremité des ergots, où viennent se prendre les anneaux placés au bout des cylindres, avec un foret de 0,35 mm. Une fois les cylindres en place, j'ai passé dans ces orifices un morceau de fil de laiton d'un diamètre correspondant qui a ensuite été recourbé à chaque extrémité, créant ainsi une goupille à l'échelle.
Finalement, en pointant le canon, je me suis aperçu, sauf erreur de ma part, que les cylindres et leurs pistons conservaient toujours le meme angle par rapport à l'axe longitudinal du berceau et cela quelque soit l'angle de site. Donc, nous pouvons aisément coller ces cylindres sur les ergots du berceau, qui plus est avec des écrous en résine plus réalistes, sans empecher l'élévation du canon. Mais je ne reviendrai pas sur ce que j'ai déjà construit. Mes goupilles resteront en place.
Et voilà, les ultimes et dernières pièces de ma maquette ont été mises en place. Il n'y a plus rien à coller du modèle original. Et je ne vois pas quelles améliorations supplémentaires je pourrais créer et installer.
A NOUS LA PEINTURE !
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NON, JE NE VOUS AI PAS OUBLIES !
Le 06/07/2014
Je compte sur vous pour faire mieux. J'espère atteindre la centaine/mois avant la fin de l'année.
Je suis donc toujours à mon poste, et dès l'aurore. Il n'était pas encore 06 heures, ce matin, que je maniais déjà le pinceau. Ben oui, faut ce qui faut. J'ai des journées très, très chargées. Overbooké dirions nous aujourd'hui. je maquette quand je peux.
Comme vous voyez mon M110 se peint petit à petit et peu à peu. Mais surtout, j'ai enfin acheté un nouvel appareil photo numérique : un CANON POWER SHOT A2600 16 Mégapixels, payé une soixantaine d'euros en grande surface. Il était vendu avec une carte SD SANDISK de 04 Go mais sans prise USB. Les réglages sont simples, trop simples, rien à faire sinon appuyer sur le déclencheur.
Un conseil, mettez quelques dizaines d'euros de plus et achetez la gamme au-dessus. Je regrette déjà mon CASIO EXILIM qui m'avait si bien servi pendant dix ans et qui pesait son poids de métal. Le CANON est d'une légéreté déconcertante, rien que du plastique. Sa résistance et son endurance sont sujettes à caution. La macro m'a l'air aléatoire et l'absence de prise USB oblige à sortir la carte dès que l'on veut poster ses photos sur internet. Je ne crois pas que le volet du logement résistera longtemps.
Enfin,
Donc, la peinture de la plate-forme de tir de mon obusier se termine doucement comme vous pouvez le voir sur les photos. Il me reste encore à peindre les deuxièmes couches de sable ( DECK TAN de TAMIYA ) et du noir ( REVELL matt ) et j'attaquerai les détails.
Généralement les véhicules militaires, du moins en France, autant que je me rappelle mon service militaire, sont entièrement peinturés, sauf les phares et les pneus. Même les sangles, les cables électriques, le lot de bord, le lot de dépannage, parfois les bâches sont généreusement recouverts de la même couche de peinture.
Mais ici, à cette échelle, il faut briser l'uniformité de la peinture et du camouflage pour donner plus de relief au modèle et faire ressortir ces détails qui donnent de la vie à votre maquette, boutons et poignées en plastique noir, repères blancs sur les commandes électriques, cables sur lesquels la peinture s'écaille rapidement, traces de frottement sur les lieux de passages, plaquettes de consignes, bouchons de vidange peints en jaune en France.....
Vous remarquez sur les photos que l'engin est accompagné des schémas oficiels de mise en peinture de l'US ARMY, récupérés sur un site internet dont j'ai oublié le nom, OLIVE DRAB peut être ou bien PANZERBAER. Ils se rapportent à un M110 ( canon court ) mais je pense que le camouflage MERDC reste le même pour un M110A2 au canon long. Malgré cette longueur, le canon ne porte aucune couleur sable, quant aux emplacements des autres couleurs de la volée, j'avoue que j'ai un peu improvisé.
J'ai essayé de respecter autant que possible l'emplacement et la forme des différentes tâches de peinture mais cela ne me traumatise pas outre mesure car, selon le site MERDCCAMO
"The official patterns were not always followed by some units", autrement dit :"Les schémas oficciels n'étaient pas toujours respectés par certaines unités".
La suite au prochain numéro.
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M1A1, INFINITY COLLIMATOR
Le 13/07/2014
AIMING A M1A2 INFINITY COLLIMATOR, POINTAGE D'UN COLLIMATOR |
( FAIT C..... ! CETTE P...... DE TABLETTE ! J'avais presque fini d'écrire ce texte lorsqu'en appuyant sur la touche retour de frappe elle est revenue à l'écran de veille en effaçant tout mon texte. De toutes façons, les tablettes c'est de la M......Ce n'est qu'un gadget HITECH pour geeks et fashion victims qui se la petent. Fermons la parenthèse )
Je disais donc que derrière ce nom étrange ne se cache pas une secte mais un dispositif de pointage de l'artillerie de l'US ARMY ( et d'autres armées également ). L'apparail consiste en un tube de gros diamètre fixé sur un tripode. Le tube contient des lentilles de verre portant des graduations. L'intérieur peut etre éclairé électriquement ou par luminescence radioactive selon le modèle.
Ce colllimator est placé à quelques distances de la pièce d'artillerie. Le tube est ensuite pointé vers les appareils de visée du canon. Le pointeur du canon, au moyen de sa lunette, visera l'intérieur du tube et fera les corrections de tir en se servant des graduations visibles sur les lentilles en verre.
Si j'ai bien compris le mode d'emploi.
Le collimator se compose de quatre sous-ensembles :
-le tube aux lentilles qui se pointe vers la pièce d'artillerie,
-un support tubulaire dans lequel le tube se bascule à la verticale pour le transport et qui sert au pointage en site,
-le tripode qui sert au pointage en gisement,
-le tube de rangement qui recouvre le tube et son support et se fixe sur la base circulaire du tripode, les pieds du tripode se replient alors vers le haut et sont attachés sur le corps du tube de rangement.
Nous pouvons trouver quelques photos et dessins techniques sur internet dont certaines où l'appareil est représenté à coté d'artilleurs agenouillés, ce qui nous donnera une idée de ces dimensions.
Ce collimator, en version A1 puis A2, est utilisé depuis plusieurs décennies par l'artillerie de l'US ARMY, autant pour les pièces tractées que pour les pièces automouvantes comme les M109, M107, M110.
Bizarrement, aucun fabriquant de maquette ne l'avait jamais reproduit jusqu'à récemment où AFV CLUB a sorti un M109 accompagné de ce dispositif de visée. Il était temps.
j'ai également trouvé, sur internet, des photos d'un collimator scratché par un maquettiste acharné. Le modèle ainsi créé est plutôt simple, deux tubes emboités l'un dans l'autre et fixé sur un affut de mitrailleuse légèrement modifié.
http://i177.photobucket.com/albums/w226/redleg12/198-6-1.jpg
http://i177.photobucket.com/albums/w226/redleg12/f198-4.jpg
Je me devais de faire mieux. Au boulot.
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M1A1 INFINITY COLLIMATOR, le montage
Le 20/07/2014
COLLIMATOR EN COURS DE MONTAGE |
L'article, trouvé sur internet et précédemment cité, donne les dimensions du scratch du collimator mais j'ai trouvé le diamètre du tube ( 2,54 mm ) un peu faible.
LE TUBE
J'ai donc choisi un tube styrène EVERGREEN de 3,3 mm de diamètre et de 15 mm de long. Comme il est creux, j'ai bouché l'intérieur avec une baguette plus petite.
Pour former les surépaisseur du tube je me suis servi de deux bandes de feuilles de plomb d'une largeur de 6 mm à l'arrière et de 4 mm à l'avant.
L'avant du tube est muni d'un pare-soleil coulissant taillé en biseau. Il est confectionné dans une bande de métal ( tube de dentifrice ) de 14 mm de long et de 4 mm de large. La pointe en biseau est découpée en faisant un retrait de 1 mm à chaque extrémité. Ce biseau sera ensuite arrondi au papier de verre fin lorsque le pare-soleil sera mis en place.
Comme dans la réalité, le pare-soleil ne doit pas enrouler entièrement le tube mais un espace doit etre apparent entre les extrémités sous le collimator. Cette pièce peut etre déployée au dessus de la lentille avant ou repliée vers l'arrière. A vous de chosir.
Sur le tube, à hauteur de l'axe transversal, je colle, à gauche, un tronçon de styrène de 0,70 mm de diamètre pour simuler un bouton ou une prise ou un point de graissage quelconque et, à droite, je colle un champignon composé d'un tronçon de 0,70 surmonté d'une rondelle de 1,50 mm de diamètre pour représenter un autre bouton de réglage quelconque.
A l'arrière du tube, en son centre, je positionne un morceau de baguette EVERGREEN de 2,35 mm de diamètre et de 3 mm de long. Il est surmonté d'un tronçon de 0,70 mm par 1,5 mm de long. Il faut le coller au sommet du tube précédent et parfaitement à l'horizontale car il simule le niveau à bulle de l'appareil. A l'arrière de ce tube plus petit, légèrement décalé vers la droite, je colle un tronçon de 0,70 mm de diamètre qui, je crois, représente, la prise d'alimentation du système d'éclairage de nuit.
LE SUPPORT
Il faut ensuite créer le support du collimator dans lequel il se replie lors du transport. J'ai choisi un morceau de tube plastique, de provenance oubliée à ce jour, de diamètre 5,35 mm que j'ai préféré aux rods EVERGREEN en raison de ces parois plus fines.
Il est coupé à la longueur de 10,5 mm, suffissamment long pour le collimator puisse pivoter en partie à l'intérieur.
Ce support est collé sur une rondelle de styrène de même diamètre puis il est découpé, selon les photos, à l'avant sur une longueur de 9 mm et une largeur de 3,4 mm, à l'arrière il est taillé en biseau sur une longueur de 5 mm et une largeur de 4 mm.
Le tube est maintenant collé entre ces deux branches ainsi formées. Il est collé au niveau du bord avant de la surépaisseur arrière, si vous me suivez.
A ce stade, le modèle ressemble déjà à l'appareil réel et c'est rassurant et motivant pour la suite. Il est certes peut etre légèrement surdimmensionné mais ne gachons pas notre plaisir par ce genre de remarque mesquine.
Sur les branches du support, là où est collé le tube, je fixe deux petits tronçons de styrène de 0,70 mm de diamètre pour simuler les axes de basculement du tube. A droite, sous cet axe, je colle un tronçon de 1,50 mm de diamètre pour représenter le bouton de contrôle du pivotement en site.
Sous le tube support, je colle un tronçon de 3,30 mm de diamètre par 2,5 mm de haut. A droite de ce tronçon, à la verticale de l'axe de pivotement, je colle une rondelle de 1,5 mm de diamètre pour représenter le bouton de blocage du pivotement en gisement.
Et pour finir, une languette de feuille de plomb, simulant une sangle, vient se placer sur le support de la lunette du collimator, à la base du logement qu'elle occupe lorsqu'elle est repliée, afin de la maintenir en place lors de son transport.
LE TRIPODE
Au tripode maintenant.
Sur un tronçon de tube EVERGREEN de 6,4 mm de diamètre et de 1 mm d'épaisseur, je colle une feuille de styrène de 0,25 mm d'épaisseur que j'arrondis ensuite au diamètre du tube.
Pour représenter les pieds, je coupe trois longueurs de 15 mm de baguette de 0,70 mm de diamètre.
Je coupe trois longueurs de 1,5 mm de baguette de 0,75 mm de section ( attention, baguette de section carrée ). Je perce ces trois tronçons avec un forêt de 0,70 mm et j'enfile mes trois baguettes précedantes dans ces petits rectangles. Une rondelle de 1,5 mm de diamètre vient coiffer l'une des faces latérales des rectangles. Le tout représente le système d'extension des pieds du tripode.
Ces trois pieds sont finalement collés à l'intérieur du tube de 6,4 mm de diamètre selon un angle approprié.
LA BOITE DE TRANSPORT
Reste à créer la boîte de transport du collimator, un tube de 6,40 mm de diamètre par 13,5 mm de long que je surmonte d'un tube de 4,8 mm de diamètre par 6 mm de long et que je bouche à son extrémité supérieure. Les arrêtes supérieures de ces deux tubes sont arrondies au papier de verrre fin.
La base du tube de 6,40 mm est munie de trois morceaux de tige plastique rectangulaire collés verticalement représentants les clips de fixation sur la base circulaire du tripode.
Au sommet de ce tube, je colle horizontalement trois morceaux de tige plastique carré que j'arrondis légèrement afin de créer les supports des pieds du tripode lorsqu'ils sont repliés vers le haut pendant le transport. Une bande de feuille métallique formée en M aurait mieux convenu mais là j'attaquais vraiment du petit, un peu trop pour moi.
Ultimes détaillages, une bande de feuille de plomb fixée longitudinalement sur le tube de 6,40 mm représente la poignée de transport et une autre bande collée transversalement à la base du tube de 4,8 mm représente la sangle de maintien des pieds du tripode lorsqu'ils sont repliés vers le haut en mode de transport.
Il me restera encore à coller une petit rectangle de feuille de plomb, ou un morceau de décalcomanie, à coller sur le tube supérieur pour simuler la notice de référence technique de l'appareil.
Et voilà, avec une bonne vingtaine de pièces ce collimator est une véritable maquette dans la maquette. Même si l'ensemble est peut être légèrement surdimensionné, les proportions me paraissent correctes. L'appareil est plus que ressemblant et je suis plus que satisfait.
Sa construction ne m'aura pris que quelques heures et aura été un vrai plaisir.
Certes ce collimator n'est pas essentiel à la mise en situation d'une pièce d'artillerie. Tout le monde s'en est passé depuis tant années. Néanmoins il permet de varier la présentation des canons et autres obusiers en ajoutant une touche de réalisme et d'originalité qui focalisera sans aucun doute l'attention du spectateur.
Une fois encore, comme avec le brancard à obus, devant sa facilité de construction, nous pouvons nous interroger sur l'absence de cet dispositif dans les boîtes de maquettes des pièces d'artillerie produites depuis tant d'années par tous les fabricants comme dans les kits de détaillage en photodécoupe et résine que l'on nous vend à des prix exhorbitants.
Je crois qu'en fin de compte nos cher(e)s fabricants, sauf exception, ne sont que des mercantiles et des techniciens sans imagination et surtout sans passion.
A moins qu'il n'y ait là derrière une politique clairement définie consistant à nous vendre du n'importe quoi à n'importe quel prix pour vendre ensuite de la photodécoupe et de la résine soient disant indispensables à des prix astronomiques.
Hmmmm, il y aurait là matière à enquêter sur les collusions possible entre les grands groupes et les petites entreprises !
Ah, théorie du complot quand tu nous tiens.
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TOUT SE MET EN PLACE
Le 14/08/2014
VUE D ENSEMBLE DE LA DISPOSITION DU DIORAMA |
Un jus plus ou moins épais de peinture à l'huile terre d'ombre brûlée a été déposé dans tous les coins et recoins de l'engin. Un fois sec, il a fait l'objet d'un dry brush en HUMBROL MATT 28 gris camouflage sur la totalité de sa surface. Ensuite j'ai appliqué de la rouille sur le bas de la lame de recul, d'abord un dry brush de HUMBROL MATT 70 rouge brique que j'ai éclairci avec un second dry brush, moins appuyé, de HUMBROL MATT 82 orange de garniture.
Le même procédé a été utilisé devant la trappe du conducteur et de part et d'autre des flasques de l'affut mais là j'ai en plus éclairci le tout avec un troisième dry brush de HUMBROL MATT 56 aluminium.
Quelques touches de couleur noire ont été appliquées pour rehausser les détails comme les cables électriques et certaines durites, les poignées des manettes, les boutons et la bonnette de la lunette de visée. Une pointe de blanc souligne les commandes des intercom.
Il me faudra encore passé un jus de HUMBROL MATT 94 jaune brun et le modèle sera près pour le vernissage.
Profitant du séchage du modèle réduit, j'ai poursuivi le montage de mon équipage. Il sera donc de 06 servants, un conducteur qui s'extrait de son poste, un pointeur agenouillé à côté de l'engin qui manipule un "collimator", deux canonniers de part et d'autres de la culasse et mes deux brancardiers HELLER.
Ces deux derniers sont montés tels quels, améliorés de brelages en feuille de plombs.
Pour les quatre autres figurines, les jambes et les corps sont des références DRAGON.
Deux d'entre eux ont des têtes de la même marque, les deux autres des têtes ICM de tankistes russes modernes. Les bras sont un mélange ICM pour le conducteur, ITALERI pour le pointeur et l'un des canonniers et TAMYIA pour le dernier personnage. Un peu de mastic à certaines jointures parachève la greffe. Je suis finalement décidé à les doter de casque M1, steel pot, une référence TAMYIA que j'avais en quantité dans ma boîte à rabiot. Ils seront améliorés par des couvre-casques en mouchoir papier et une bande de feuille de plomb pour simuler la bande élastique qui les entoure habituellement.
Les photos accompagnant cet article vous donne une idée de l'ensemble et de la disposition prévue pour le diorama.
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